Le 21 mars 2008 je fais la connaissance de Iorineka qui devient rapidement ma compagne et collaboratrice. Son talent de rédactrice m’a permis d’entreprendre l'écriture d’un premier livre « L’Éveilleur, le tonnerre ». Nous avons ainsi plongé dans les méandres de mon destin en essayant d’en extraire l’essence. Puis l’écriture médiumnique a fait son entrée dans ma vie : c’est ainsi qu’a été rédigé le second manuscrit « Les fils de l’Aurore ». Iurikan m’y révèle les origines de l’humanité et les secrets ésotériques de la nature cachée de notre monde.
Ce récit profond traduit avec clarté et simplicité des données pourtant complexes et denses. Chacun peut y trouver les clés qui font défaut à sa vie afin de se dresser contre l’ignorance carcérale dans laquelle l’humanité patauge depuis des millénaires.
Sans Iurikan, cet ouvrage n’aurait pu voir le jour car je ne suis que son porte-parole. J’assume néanmoins toutes les informations qui y sont révélées, ainsi que leurs implications. Bien loin de l’écriture purement anecdotique, ce livre nous plonge dans les abysses de notre histoire pour en révéler ses aspects libérateurs.
Pendant plusieurs mois, je me suis chaque matin assis en tailleur devant les vingt-huit lames du tarot que Iurikan m’a transmis. Je restais ainsi deux heures en état de transe, les yeux mi-clos, afin de recueillir quatre pages de bouleversantes révélations sur sa vie sur Terre il y a près de 40 000 ans.

Ganji Anankea

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